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Différence.

Différence.

Le pire n’est pas leur silence

Mais leur arrogance

Quand ils commettent des offenses

Qui sont loin des valeurs de la France

 

Partout ils sont source de nuisance

Depuis leur adolescence

Ils affichent leur belligérance

Envers le pays qui leur porte assistance

 

Ils arrivent avec leurs convictions

Que les  femmes leur doivent soumission

Qu’ils n’ont pas à leur demander la permission

Pour toute sorte d’intromission

 

Selon leurs traditions

Tout refus est soumis à punition

Alors ils se comportent comme chez eux

Et deviennent belliqueux

 

Dans les rues les femmes se font harceler

Faute de les museler

Sans jamais être inquiétés

Ils battent leur  compagne en toute impunité

 

Même lorsqu’ils sont pris sur le fait

Ils nient sans vergogne leurs méfaits

Organisés en bandes insolubles

Dans les immeubles ils sèment le trouble

 

Partout sans autorisation ils se fixent

Sont à l’origine de presque toutes les rixes

C’est un véritable problème social

Que ce comportement quasi animal

 

Cela devient une coutume

Les femmes cèdent la place sur le bitume

Et ne peuvent plus sortir

Selon leur envie de se vêtir

 

Elles subissent les insultes

D’hommes incultes

De vendeurs à la sauvette et de dealeurs

Camés ou tout autre racoleur

 

Malgré les nombreuses pétitions

Il n’y a jamais rémission

Les femmes sont toujours en soumission

Et la justice en démission

 

Pour sortir en justaucorps

Il faut un garde du corps

Et pour une jupe portée trop court dans la rue

Les femmes se font traiter de morue

 

Ils traitent les femmes comme des objets

N’acceptent aucun refus ni rejet

Dans cette différence de culture

Qui place les femmes sous leur dictature

 

C’est dans la plus totale indifférence

Qu’on laisse mourir la France

Et dans la même complaisance

Qu’on laisse brûler les ambulances

 

Tous les endroits sont devenus des repaires

Pour ces nids de vipères

Les commerces ne sont plus prospères

A quand le tour des établissements scolaires

 

Plus aucun endroit n’est sûr

C’est l’anarchie dans toute sa démesure

Et tous ces gens indésirables

La loi les rend manifestement inatteignables

 

Et si par hasard une plainte aboutie

Après une demi-heure l’accusé est déjà sorti

De quoi décourager la plus tenace

De celles qui osent braver la menace

 

Depuis des millénaires rien n’a changé

Les voyous sont “jugés“

Les tribunaux sont engorgés

Et les femmes toujours égorgées.

Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

 

Commentaires

  • bravo.

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