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  • Tous à Bruxelles.

    Tous à Bruxelles.

    Il y a ingérence sur la France

    Pendant que Bruxelles fait bombance

    Il y a eu le maïs transgénique

    Imposé par les Amériques

     

    Qui fait copain copain

    Mais dont Bruxelles est le larbin

    Puis il y a eu le Covid

    Qui a fait pas mal de vide

     

     Sauf dans les laboratoires

    Qui ont connu leurs heures de gloire

    Par un vaccin imposé

    Sous menace d’être expulsé

     

    Pays d’Europe montrez-vous

    Et réveillez-vous pour survivre

    Refusez que l’on vous livre

    Des produits qui vous mettent à genoux

     

    On vous impose des normes et des réformes

    Et pourquoi pas bientôt l’uniforme

    Pour vous dicter un mode de travail

    Et  vous enfermer dans un foirail

    Comme du bétail

     

    Cette Europe qui vous étrangle

    Et vous arrache les ongles

    En vous imposant des jachères

    A grands coups d’enchères

     

    Au nom de la soi-disant biodiversité

    Sous couvert de complicité

    Qui un jour  impose une surproduction

    Et un jour une diminution sous peine d’exclusion

     

    Il serait enfin temps

    D’appuyer sur le bouton

    Pour  quitter cette arnaque Européenne

    Sous dictature américaine

     

    Dans un palais royal où on brasse des milliards

    Que l’on distribue au hasard

    A tord et à travers en se sucrant au passage

    En faisant croire qu’on s’est trompé d’aiguillage

     

    Où des présidents sont nommés à tour de rôle

    En se couvrant d’une auréole

    Mais qui n’ont jamais mis les pieds dans un champ

    Qui ne font qu’acte de présence

    Et ne savent pas faire la différence

    Entre une truie et un cochon

     

    Et dont l’orientation

    Est surtout le montant de leur commission

    Grâce aux pouvoirs illimités

    Qu’ils se sont octroyés.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • Paris perdu.

    Paris perdu.

    Paris trahi Paris envahi

    Sous le poids, Paris déblanchi fléchi

    Sous le joug des voyous

    Paris se met à genoux

     

    Dans les rues on ne se déplace que le jour

    Pour voir le palais des glaces

    Ou la tour Montparnasse

    La nuit est réservée aux vautours

     

    Où dans les impasses

    Les belles de nuit font des passes

    Souvent tabassées par leur marlou

    Quand pas assez leur corps elles louent

     

    Avant que la nuit ne soit noire

    Africaines et brésiliennes

    Se disputent le trottoir

    Dont elles se disent gardiennes

     

    Elles battent ce  pavé

    Qui leur est réservé

    Pour offrir leur service

    A des abonnés ou des novices

     

    Pendant que plus loin des guetteurs

    Préviennent les dealers

    D’une descente de police

    Pour qu’ils s’éclipsent

     

    Ils jouent à cache cache

    Et jouent les bravaches

    Avec une police dépassée par l’inertie

    D’une justice ankylosée à l’agonie

     

    En concurrence avec Marseille

    Pour celle qui détournera le plus d’oseille

    Paris s’enfonce malgré ceux qui dénoncent

    Toute cette complice allégeance

     

    Avec  protecteurs, des avocats véreux prêts à tout

    Tant que cela rapporte de gros sous

    Paris est assis sur une bombe

    De Gaulle se retournerait dans sa tombe

    S’il voyait toute cette corruption

    Qui gangrène la nation

     

    Bientôt les jeux olympiques

    Une année placée à hauts risques

    Qui va coûter des milliards

    Pendant que dans les rues dorment des clochards

     

    On va condamner des rues

    Et pour un peu d’argent

    Expulser des pauvres gens

    Juste pour le plaisir de quelques parvenus

     

    Elles sont loin les chansons d’amour

    Qui vantaient les beautés de cette ville

    Où l’on pouvait se promener tranquille

    Sous son charme glamour.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva.

  • La thune.

    La thune.

    Je ne connaissais pas la fortune

    Et je n’avais pas de thune

    Même pas de quoi me payer un costume

    Et je marchais pieds nus sur le bitume

     

    Je n’avais plus de souliers

    Et j’avais mal aux pieds

    Et de Paris à Amsterdam

    J’ai usé le macadam

     

    Certains écrivent à l’encre noire

    Toute leur histoire

    Le ciel s’assombrit

    Et dans leur vie tout devient gris

     

    D’autres effacent de leur mémoire

    Tous leurs déboires

    La pauvreté les rabaisse

    Et les  pousse à la paresse

     

    Je n’avais vraiment pas de chance

    Je ne partais jamais en vacances

    Mais j’ai fait preuve de persévérance

    Et  les années ont fait la différence

     

    J’ai eu un peu plus de chance

    Aujourd’hui j’ai ma revanche

    J’ai pris de l’assurance

    Les journées sont devenues plus blanches

     

    J’ai un peu de thune et un costume

    Au restaurant je ne prends plus le menu

    Et je ne marche plus pieds nus

    Sur le bitume

     

    Et si je fais des envieux

    Tant pis pour eux

    Moi  aussi j’ai connu la misère

    Et  j’ai eu ma part de galère

     

    Les jaloux me donnent de l’importance

    Quand ils tirent sur l’ambulance

    Et si l’un d’eux  salit ma vie

    C’est qu’il m’envie

     

    Et  je ferai chaque jour la nouba  

    Pour emmerder tous ceux qui voudraient me voir en bas

    Et  tant pis pour les envieux

    Qui me croient plus riche qu’eux

     

    Je me fous de ce qu’ils pensent

    Si  je ne regarde pas à la dépense

    Il y a toujours de la jalousie

    Quand quelqu’un réussi sa vie.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

     

  • Les hommes politiques.

    Les hommes politiques.

    Avec leur air de bon père paternaliste

    Ils ratifient et modifient des listes

    Et nous inondent de beaux discours

    Pour justifier leur merveilleux parcours

     

    Mais chacun profite du quinquennat

    Pour préparer sa place au sénat

    Et pour se faire un maximum de fric

    Volé sur notre dos et celui du fisc

     

    Pour partir aux frais de la princesse

    Dans des îles pour cacher leurs richesses

    Et assouvir toutes leurs passions

    Sous couvert de mission

     

    Et pour faire un peu de réclame

    Toujours accompagnés de la 1 ère dame

    Qui souvent entretien son physique

    Avec notre fric sous le scalpel de l’art plastique

     

    Bien sûr tout ça aux frais du contribuable

    Pour eux le prix est imbattable

    C’est lamentable et biodégradable

    Et parfois même interchangeable

     

    Il y en a même qui croient faire un effort

    En voyageant en jet privé

    Pour assister à une manifestation de sport

    Qu’ils pourraient regarder à la télé

     

    Ils arrivent à endormir le peuple

    Avec des émissions bidon

     

    Il y aura toujours des disciples

    Et des dindons pour admirer Cupidon

     

    On fera passer des banalités à la télé

    Du genre téléréalité

    Pour cacher la vérité

    Sur la hausse de la criminalité

     

    On nommera même un nouveau ministre

    Qui sera chargé de régler les sinistres

    Histoire de faire croire dans le miroir

    Que tout est possible au gens du pouvoir

     

    Pour ajouter une dose de laxatifs soporifiques

    On placera des amis à un poste à titre honorifique

    Et on promet de ramener l’ordre dans ce désordre

    Avant que n’arrive le contrordre

     

    On promet du changement

    On va construire des milliers de logements

    Pour faciliter les accouchements

    Et réduire les attouchements

     

    Beaucoup de cérémonies

    Et de  bla-bla depuis des décennies

    On nous chante toujours les mêmes louanges

    Mais jamais rien ne change.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • Passent passent les cons.

    Passent passent les cons.

    Passent passent les cons

    Il y en a encore pour très longtemps

    Pendant que je marchais

    Georges s’en est allé

     

    Il ne pourra plus voir défiler

    Les grands jubilés

    De tous ces cons

    Qui passaient sous son balcon

     

    Il paraît qu’il en a même

    Qui sont fiers de l’être

    Et qui n’ont pas besoin qu’on les sème

    Pour à chaque occasion réapparaître

     

    C’est peine perdue

    Que de vouloir les soigner

    Il y a des individus

    Avec lesquels on ne peut que se résigner

     

    La connerie est une culture

    Qui s’épanouit et dépasse la nature

    Et il n’y a pas assez de jardiniers

    Ni assez d’aumôniers

     

    Pour corriger ou éradiquer cette race

    Beaucoup trop coriace

    Qui profite de chaque occasion

    Pour refaire une apparition

     

    Pour certains c’est même un don

    Ils tiennent ça de leurs antécédents

    Quand on a le pouvoir

    Il est difficile de quitter le perchoir

     

    Il y en a eu plus que l’an dernier

    Cette année se sont ajoutés les saisonniers

    Mais je crains

    Qu’il en ait moins que l’an prochain

     

    Ils font beaucoup de tintouin

    On les voit arriver de loin

    Ils sont toujours plus bruyants

    Pour se rendre plus intéressants

     

    Ils se déplacent par bande

    Chez eux c’est inné

    On les reconnait

    Sans qu’ils fassent de propagande

     

    Enfin ça fait beaucoup de clients pour le paradis

    Car d’après ce que l’on dit

    C’est des simples d’esprit

    Que Dieu serait le plus épris

     

    Passe passe le temps

    Il y en a encore pour très longtemps

    A voir passer les cons sous mon balcon

    Avant qu’ils n’atteignent le firmament.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • La détresse des paysans.

    La détresse des paysans.

     

    Longtemps ils ont travaillé au rythme du cheval

    Pour cultiver une terre parfois aride

    Guerre du monde rural

    Contre un mode urbain rempli de vide

     

    Ils ne jouent pas leur argent en bourse

    Ils ont à peine de quoi faire quelques courses

    Aujourd’hui contre une industrie

    Qui sur leur dos fait son beurre

    Des agriculteurs meurent

    Faute de trésorerie

     

    Ils essaient en vain de gagner leur pain

    A la sueur de leurs mains

    En implorant Dieu

    En tirant le Diable par la queue

    Dans des exploitations familiales

    Où il y a manque ou surplus de semailles

     

    Chaque matin pour un dur labeur

    Ils partent de bonne heure

    Et rentrent tard le soir

    Quand la nuit est noire

     

    Ils se lèvent à l’aurore

    Quand le coq dort encore

    Et se couchent au crépuscule

    Quand le hibou hulule

       

    Sous la pluie et le vent le paysan

    Doit toujours faire un pas en avant

    Pour aller travailler sa terre

    Qui lui laisse parfois un goût amer

     

    Dans cette vie de célibataire souvent austère

    Il travaille triste et solitaire

    En priant le ciel

    De lui envoyer une aide providentielle

     

    Sur les sentiers il a usé ses souliers

    Et sur lui-même il s’est replié

    La ville et ses vitrines

    Il les voit parfois dans un magazine

     

    Il est triste aucun de ses enfants

    En bon élève ne prendra la relève

    Sur eux plane trop ce glaive

    Qui les poursuit et les pourfend

     

    Car quand la banque leur refuse le crédit

    Qui leur laisserait un peu de sursis

    Manquant d’argent liquide

    Certains se suicident en se jetant dans le vide.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • Quand se brise le lien.

    Quand se brise le lien.

    Il est facile d’aimer

    Quand tout va bien

    Mais plus difficile de rester

    Quand se brise un lien

     

    Comment tourner la page

    Pour éviter l’orage

    Et ne pas en vouloir

    A celui qui ne veut plus rien savoir

     

    Une rupture toujours douloureuse

    Pour celui pour qui la solitude se creuse

    Il lui faudra garder les souvenirs essentiels

    Des jours  couverts de miel

     

    Il ne faut pas détruire

    Ce que l’on a mis tant de temps à construire

    Lorsque  l’amour vous abandonne

    C’est que quelque part  il y a eu mal donne

     

    L’amour est comme le feu et le vent

    Un jour chaleureux un jour violent

    Un jour on aime un jour on se quitte

    L’un veut rester l’autre prend la fuite

     

    L’heure de la  rupture

    Laisse toujours une blessure

    Une sensation douloureuse

    Chez celui qui la refuse

     

    On  a passé une partie de sa vie

    A aimer celui ou celle qui va nous quitter

    Parfois sans préavis

    Un rêve s’est effrité

     

    On l’a connu on l’a perdu

    Pour toujours ou peut être suspendu

    Personne ne connaît l’avenir

    Ni comment s’en prémunir

     

    Quel que soit le compromis

    Quand tout va bien on a beaucoup d’amis

    Quand tout va mal il reste la famille

    Qui veut que toujours ton soleil brille

     

    Pourquoi vouloir se reprocher

    Quelque chose qui s’est mal passé

    Si lorsque l’on a tout essayé

    Rien ne s’est délayé

     

    On vit à l’ère des breloques

    Elle est révolue l’époque

    Où l’on ne mettait pas à la casse

    Les années  qui passent

     

    C’est dur de se quitter

    Et se retrouver seul face à l’adversité

    Au moment où l’on a le plus besoin d’un soutien

    Quand on n’a plus envie de rien.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • PLus qu'une aventure.

    Plus qu’une aventure.

    C’était bien plus qu’une aventure

    Qui jamais dans le temps ne dure

    Je t’ai vraiment aimé

    Ne l’oublie jamais

     

    Quand sous la caresse de tes doigts mes désirs

    Devenaient soupirs

    Dans mon jardin d’Eden

    Tu étais ma reine

     

    Chaque fois que je te disais je t’aime

    Ton corps subissait le blasphème

    Mais aujourd’hui tu es si lointaine

    Que ma vie tristement se traîne

     

    Chaque jour s’agrandit ma peine

    D’avoir été mis en quarantaine

    De ne plus toucher ton corps

    Et de ne plus entendre tes “ encore “

     

    Etre loin de toi

    C’est comme habiter une maison sans toit

    Et mes mains ne peuvent plus parcourir

    Tous les endroits de mes désirs

     

    Ce corps où j’ai laissé mille empreintes

    Les  lueurs de mon bonheur n’étaient pas feintes

    Une grande tristesse nourrit ma détresse

    De savoir si je n’ai commis une maladresse

     

    Il restera une cicatrice

    De cette rupture destructrice

    Parfois une tragédie

    Qui change le cours de la vie

     

    Combien d’amours perdus

    Sur de simples malentendus

    Même avec les beaux jours du mois de mai

    Verront cette plaie qui ne se refermera jamais

     

    Certains amours qui meurent

    Ne retrouvent jamais le bonheur

    Car l’endroit où on l’a perdu

    Nous devient à jamais défendu

     

    Même bien combattu

    Un chagrin amoureux

    Après un amour sulfureux

    Ne peut être jamais vaincu

     

    Et quand s’installe le silence

    Avec ses années d’errance

    Le manque de ta présence

    Fait fléchir ma résistance

    Et loin de toi

    Lentement je me noie.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • Le serment d'hypocrite.

    Le serment d’hypocrite.

    Fini les médecins de famille

    Du temps où je jouais encore aux billes

    Oublié le serment d’Hippocrate

    De tous ces autocrates

     

    Tous ces médecins complices

    Qui mettent la sécu au supplice

    Plus ambitieux qu’amoureux

    Ils se marient entre eux

     

    Qui ont profité sans vergogne

    Pour aller se rincer la trogne

    Des voyages de luxe offerts

    Par les compagnies soit disant pour affaires

     

    Tous ces professeurs du croupion

    Qui reçoivent des échantillons

    Et qui vous les prescrivent

    Contre rémunération lucrative

     

    Tous ces médecins qui vous demandent

    Dès la première seconde

    L’œil  aux aguets comme un crotale

    De sortir votre carte vitale

     

    Ils ne sont plus médecins par vocation

    Mais uniquement pour le pognon

    Je fais des dépassements d’honoraires

    Et vous cher confrère me direz vous le contraire

     

    Vous pouvez crever tranquille

    Si vous n’avez pas d’argent planqué dans les îles

    Les chèques s’entassent dans leurs tiroirs

    Et les patients dans les mouroirs

     

    Docteur j’ai mal au trou de balle

    Ça vous fera deux cents balles

    Docteur j’ai mal au dos

    Ha ça ce n’est pas la même ordo

    Revenez le mois prochain avec cent euros

    Je vous mettrai un bandeau

     

    Je sais que cela peut vous paraître pénible

    Mais je n’ai plus de rendez-vous disponible

    Avant un mois minimum

    En attendant je vais vous prescrire un sérum

     

    Prenez votre mal en patience

    J’ai besoin de vacances

    Ce n’est pas ma faute si on manque de médecins

    Pour faire tous ces vaccins

     

    Je peux rien vous promettre

    Mais votre dossier je le ferai transmettre

    A mon retour   de  la maison des vautours

    stage offert et financé par Jet Tours.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

     

     

  • L'aire de jeux.

    L’aire de jeux.

    Agile comme un joli petit singe

    Tu grimpes déjà sur les manèges

    Et tu te hisses vers les sommets

    Comme un grimpeur confirmé

     

    Si petit et déjà sur la piste

    Pour devenir alpiniste

    Alors qu’autour de l’aire de jeux

    Fusent les rires joyeux

     

    Des parents qui sont heureux

    De voir leur enfant si vigoureux

    Mais qui ne le quittent pas des yeux

    Leur amour le plus précieux

     

    Dans leurs yeux brillent des milliers d’étincelles

    Dès que tu atteints le haut de la nacelle

    Sur ton visage rempli de bonheur

    Se reflètent mille couleurs

     

    Les curiosités nouvelles

    Te  font pousser des ailes

    Et tu ne veux plus déserter

    Ces lieux que tu aimerais avec toi emporter

     

    Dans un manège enchanté si parfait

    Tu vis un véritable conte de fée

    Avec pour fond de musique

    Tous les TAM - TAM de l’Afrique

     

    Les plus petits jouent les apprentis

    Et regardent ce que font les “grands“

    Demain ils se seront affranchis

    Et se mettrons à leur tour au premier rang

     

    Ils pourront seuls monter sur le tourniquet

    Dès que le temps sera moins frisquet

    En promettant d’être sages

    Avec un sourire malicieux sur le visage

     

    Dans ce monde rempli de rêves

    Où tu tombes et en riant tu te relèves

    Tu es si occupé à te surpasser

    Que tes parents ne voient pas le temps passer

     

    Mais la montre s’affole

    On doit se faire une raison

    Il faut rentrer à la maison

    Demain il y a crèche ou école

     

    On promet de revenir un autre jour

    Pour un plus long séjour

    On visitera un autre parc

    On fera peut être même du tir à l’arc

    A travers les créneaux

    D’un nouveau château

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva