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  • Colère paysanne.

    Colère paysanne.

     

    La mondialisation qui vient

    Grâce à nos politiciens

    Jusque devant leur maison

    Leur obscurcit  leur horizon

     

    On fait venir d’ailleurs

    Des produits loin d’être meilleurs

    Une concurrence déloyale

    Par des pays dont la France devient vassal

     

    Des dommages collatéraux

    Que nos dirigeants cachent sous leurs capitaux

    Des pays qui n’en ont que faire

    Des  normes sanitaires

     

    Qu’ils soient en émergence ou en pleine croissance

    Ils ne regardent pas le coût de l’essence

    Ni ses nuisances

    Et font travailler les enfants dès leur naissance

     

    Alors qu’en France on se tourne vers le Bio

    Ça pollue de plus en plus du coté de Rio

    Et les grandes surfaces leur achètent  au rabiot

    Tout ce qui peut rentabiliser leur ratio

     

    Et tous ces intermédiaires font leur beurre

    Sur le dos de ceux qui pris par leur labeur

    Ne comptent pas les heures

    Sous la pluie ou la chaleur

     

    Mis sous compression

    Certains prennent des résolutions

    Et faute de trouver une solution

    Songent à quitter la profession

     

    Mais c’est dur de laisser à l’abandon

    Des terres héritées de ses parents

    Pour éviter ce désastre

    Et ne pas trop bousculer les gens du cadastre

     

    L’état pour redorer son diadème

    Et essayer de résoudre le problème

    Leur octroi des aides momentanées

    Pour une difficulté qui se renouvelle chaque année

     

    Des agriculteurs pour se faire entendre

    Décident de vendre

    Eux-mêmes leurs produits

    Mais ne connaissent pas très bien les circuits

     

    Tout le monde n’affiche pas le même barème

    Et il  y a tant de ficèles dans le stratagème

    Pour dérouter ces paysans qui travaillent

    Pendant que ceux qui tirent la corde ripaillent.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • La guerre de l'eau.

    La guerre de l’eau.

     

    Nous avons de bons vivants sénateurs

    Elus par de grands électeurs

    Qui font le beurre

    De  tous les  grands restaurateurs

     

    Mais qui ne connaissent pas le prix du pain

    Ne payent jamais le train

    Et touchent des milliers d’euros

    En se servant sur notre dos

     

    On leur octroi même des frais de fonctionnement

    Pour leur accompagnement

    Sans avoir à donner de justificatifs

    Sur le coût des apéritifs

     

    Et voilà qu’une sénatrice

    Qui ne sera pas destinatrice

    Veut augmenter le taux

    De la taxe sur l’eau

     

    Pour soi-disant faire des économies

    Elle veut encore taper sur la fourmi

    Elle veut nous faire boire l’eau du robinet

    Polluée d’avoir croupi dans les fossés

     

    Mais elle n’est pas concernée

    Par cette eau contaminée

    Son confortable budget

    Le lui permet

     

    Il faudrait la virer sans la ménager

    Ni lui fournir de récépissé

    Pour vouloir nous obliger

    A boire l’eau des cabinets  

     

    Encore un scandale

    De ceux qui possèdent le droit féodal

    Qui  ont les dents de Dracula

    Et  augmentent discrètement leurs frais de mandat

     

    Des centaines d’euros par mois

    Alors que certains n’ont pas de toit

    Députés et sénateurs

    Vivent en apesanteur

     

    Pendant que nous pauvres couillons

    On nous met quelques miettes

    Dans notre assiette

    Comme on nourrit des oisillons

     

    A quoi sert un si grand nombre de sénateurs

    Nous en avons plus de trois par département

    C’est beaucoup pour un si petit rendement

    Deux  par état aux états unis où est l’erreur.

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  • Impunité.

    Impunité.

     

    Est-ce parce que je t’ai toujours acquittée

    Que tu n’as jamais songé à me quitter

    Toutes les femmes et hommes politiques

    Nous chantent toujours le même cantique

     

    Entre complots et arrangements

    De tribunal en cour d’appel

    Il y a toujours un arrangement

    Pour ceux qui savent remplir leur coupelle

     

    Jamais de condamnation

    C’est l’unique condition

    Pour que seuls trinquent

    Les porte-flingues

     

    Quand on connaît quelqu’un de haut placé

    On est toujours bien protégé

    Les peines sont allégées puis effacées

    Et on peut toujours siéger

     

    Quelle chance par convenance

    Il y a toujours un renvoi d’ascenseur

    Embelli de fleurs pour les escrocs et les voleurs

    Et la source fait à nouveau résurgence

     

    Ça magouille et ça bidouille à la foire fouille

    Chacun veut s’en mettre plein les fouilles

    Et il faut faire vite

    Les postes ne sont pas garantis à vie

     

    Et il a beaucoup de monde qui visite

    La chambre interdite

    Alors ça donne des envies

    A ceux qui se sont placé sur orbite

     

    Il y a même de belles salopes

    Qui  détournent les fonds de l’Europe

    Il est mort Esope

    Il n’y a plus de philanthrope

     

    Il faut dire que même dans les succursales

    Les sommes sont colossales

    De quoi aiguiser l’appétit

    Même des plus petits

     

    La prospérité est assurée

    Si rien n’est facturé

    On peut mettre dans un panier autant d’œufs

    Que l’on veut

     

    Si  la sortie est gratuite

    Et qu’il n’y a aucune poursuite

    Et pour que l’impunité survive

    Il faut que la complicité vive

     

    Dédicacé à tous les corrompus

    Qui de l’argent des travailleurs se sont repus.

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  • Attention justice.

    Attention “ justice“

     

    Il ne faut surtout pas

    S’attaquer à notre justice

    Indépendante et dominatrice

    Qui tourne en rond comme un compas

     

    Qui est toujours en guerre

    Contre le ministère de l’intérieur

    Ça facilite le travail des dealers et voleurs

    Quand on les autorise à sortir par derrière

     

    On croirait qu’ils ne mènent pas

    Le même combat

    Quand l’un arrête et emprisonne

    L’autre  se déballonne

    Et après de longs débats

    Ne condamne jamais personne

     

    Il faudrait des sanctions préétablies

    Pour que l’ordre soit rétabli

    Si  tout devenait évident

    Il y aurait beaucoup moins d’incidents

     

    Et si la notice délivrait moins d’armistices

    Les victimes obtiendraient au moins une justice

    Ne pas l’obtenir est un outrage

    Qui peut faire apparaître la rage

     

    Où se situe le droit de chacun

    Quand on le traite avec dédain

    Alors que les coupables souverains

    Ont la voie ouverte pour devenir des “parrains“

     

    Cette  justice qui fait défaut cruellement

    Où on oublie et pardonne trop facilement

    Même après dix récidives

    Et où on égare toujours bizarrement

    Mais surtout volontairement

    Un dossier dans les archives

     

    Il y a toujours un complice

    Pour éviter le supplice

    A  ceux qui prennent en otage

    Et des procès qui se terminent en naufrage

     

    L’injustice est une aberration

    Une  marche contre la nation

    La haine s’installe

    Chez celui qui l’a eu dans le rectal

     

    On a créé des lois injustes

    Devenues trop vétustes

    Mais surtout qui protègent

    Ceux qui font tourner le manège

     

    Et qui se cachent dans l’ombre

    En nous préparant des jours sombres

    Cette justice qu’on voudrait comme la vierge

    Mais dont on n’allume jamais le cierge.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva

  • L'évolution.

    L’évolution.

    Au début de la création

    Il  y avait la terre

    Le ciel le soleil et la mer

    Puis il y a eu l’évolution

     

    Bien avant Adam et Eve

    L’homme vivait avec la terre en harmonie

    Il était bon élève

    Et consommait avec parcimonie

     

    Puis il s’est mis debout

    A commencé à réfléchir

    Et à consommé par les deux bouts

    Il  a finit par tout détruire

     

    Il vivait en paix avec la nature

    Il n’y avait pas encore de voitures

    Mais il a commencé à abattre des arbres

    Et à tailler dans le marbre

     

    Partout il a brûlé des forêts

    Partout il s’est mis à perforer

    Il a creusé  la terre

    Pour lui voler son minerai de fer

     

    Il a violé les mers et les océans

    Pour son bien séant

    L’entente venait de cesser

    Le compte à rebours de commencer

     

    Sous cette inexorable révolution

    Disparaissaient Toutes les bonnes résolutions

    Tel un animal vivant de charognes

    L’homme pillait la terre sans vergogne

     

    Création évolution agressions

    Avec un résultat : sa perdition

    Avec  un être  dont l'immense erreur

    est de  se croire partout supérieur

     

    L’homme a acquit le savoir

    Mais  pour l’intelligence

    Cela reste à voir

    Il y a encore trop d’arrogance et d’ignorance

     

    C’est la vie, où chaque éclosion

    Ne peut venir au monde que par perforation

    Et les hommes on beaucoup d’imagination

    Dans l’adaptation à la destruction

     

    Sous terre déjà les volcans résonnent

    Et sur terre un nouveau monde se façonne

    Mais avec un lendemain sans personne

    Car  mer et terre en harmonie fusionnent

    Pour se débarrasser de cet intrus

    Qui a mis la planète sans dessus dessous.

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  • Le monde est fou.

    Le monde est fou.

     

    Le monde est devenu fou

    Des Poutine fleurissent  un peu partout

    Ça chauffe sur tous les fronts

    Le monde ne tourne plus rond

     

    Face à ces fous qui nous dirigent

    C’est toute  une planète qui se fige

    Chacun rêve de reconstruire

    la puissance de son ancien empire

     

    Mais la situation s’empire

    Ils ne font que détruire

    De la Corée du nord à la Russie

    Chacun veut agrandir sa superficie

     

    Même la Turquie

    Sous un régime d'oligarchie

    Rêve de retrouver son ancien empire Ottoman

    Pour rétablir un état entièrement Musulman

     

    Israël se jette aussi dans la partie

    Pour sauver sa patrie

    Et n’hésite pas à mettre la Palestine

    A l'état de gélatine

     

    Plus personne ne trouve asile

    Quand le monde est dirigé par des débiles

    Les mots se perdent dans les larmes

    Et le bruit des armes

     

    Il y a de plus en plus feuilles mortes

    Devant chaque  porte

    Des mères en deuil

    Et des enfants cloués dans des fauteuils

     

    Tout n’est plus que pure folie

    Et la terre un amas de tristes éboulis

    Il n’y a plus d’amour

    Quand retentissent les tambours

     

    Dans ces guerres inhumaines

    On ne vit plus que  par la haine

    Triste réalité

    D’un monde désenchanté

     

    Une fois que l’on a empiété

    Plus  personne ne veut  ni reculer ni s'arrêter 

    Et pour ne pas être dans le rôle du vaincu

    Chacun recharge ses accus

     

    Des guerres qui n’en finissent pas

    Où les hommes servent d’appât

    Pour une folie meurtrière

    Juste pour faire flotter une bannière

     

    Et pour des fous qui détiennent le pouvoir

    La terre devient un immense mouroir.

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  • La féerie de Noël.

    La féerie de Noël.

     

    Les maisons se sont laissé piéger

    Un  blanc manteau de neige

    Les recouvre et les assiège

    Mais personne ne songe à le déloger

     

    Dans les cheminées on peu sentir

    Une chaude et douce odeur de feu

    Avec des milliers d’étincelles rouges et bleues

    Qui invitent les gens à ne plus sortir

     

    Mais comment le père Noël va t’il descendre

    Sans se salir dans tant de cendres

    Pour déposer tous les cadeaux

    Qu’il porte sur son dos

     

    Après tous ces kilomètres qu’il a dû parcourir

    Saura t-il où faire atterrir

    Son trop chargé et fabuleux traineau

    Le ciel n’a pas mis de panneaux

     

    Heureusement les rues sont illuminées

    Les magasins se sont fait une beauté

    Et rivalisent d’ingéniosité

    Pour exposer des tas d’articles enchantés

     

    Pour attirer des enfants à la mine réjouie

    Comme des papillons par la lumière

    Par tout ce décor qui éblouit   

    Jusqu'à la plus lointaine chaumière 

     

    Le monde entier célèbre cette fête

    Dont  la réputation n’est pas surfaite

    Cette nuit il y aura de la joie et du pardon

    Jusqu’ au fond des cœurs à l’abandon

     

    Les yeux des enfants brillent d’un tel bonheur

    Que trop vite passent les heures

    Partout les vitrines étincellent

    Et les rues vivent au son des crécelles

     

    On expose des myriades de merveilleux objets

    Qui font concurrence aux milliers de jouets

    Des bougies aux parfums envoûtants

    Prises entre santons de Provence et Bretons

     

    L’odeur de vin chaud qui caresse les narines

    Vient s’étaler jusque devant les vitrines

    Où trône une crèche avec des animaux

    Qui réchauffent un nouveau né dans son berceau

    Faute de maternité

    Dans la semi-obscurité

     

    Même dans les  campagnes les plus reculées

    Où l’automne s’est depuis longtemps replié

    Un immense manteau blanc immaculé

    Dans cette  nuit enchantée fait  partout gesticuler.

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  • Les prédateurs.

    Les prédateurs.

     

    On abuse de la faiblesse

    De leur jeunesse

    C’est un secret entre nous

    Leur dit le loup-garou

     

    Tu ne dois en parler à personne

    c'est un truc entre adulte

    lui dicte une voix occulte

    provenant d'une une tempe qui grisonne

    Souvent un ami de la famille

    Aux paroles trop gentilles

     

    C’est toujours lui qui trahit

    Quand la surveillance s’est assoupie

    Les enfants se sentent mal à l‘aise

    Et souvent se taisent

     

    La peur que personne ne veuille les croire

    Tout s’est passé dans le noir

    Alors cruel dilemme

    Ils se renferment sur eux- mêmes

     

    A l’école tout est transparent

    Seul le comportement est différent

    L’enfant va mal ce n’est pas normal

    Il se terre comme un petit animal

     

    La violence est invisible

    Comment cela peut’ il être crédible

    Alors s’installe la loi du silence

    Et l’enfant ne fait plus confiance

     

    Sous ce terrible impact

    Il ne peut rester intact

    Sa santé  morale

    Devient cruciale 

     

    Les violences physiques ou sexuelles

    Vont lui laisser des séquelles

    Il se sent abandonné

    Face à des adultes mal intentionnés

     

    Mal protégé il doit faire seul face

    A cette terrible menace

    Qui l’asservit

    Et détruit sa vie

     

    Les professionnels de la santé

    Bien qu’en première ligne

    Sont parfois inexpérimentés

    Et ne savent que suivre les consignes

     

    Les prises en charge

    Sont en surcharge

    Les sauvetages trop rares

    Arrivent souvent bien tard

     

    Et on compte à la pelle

    Les “ne quittez pas nous allons donner suite à votre appel“.

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  • Ils tuent en toute impunité.

    Ils tuent en toute impunité.

     

    Ils reviennent d’une soirée tout frétillants

    Prennent le volant

    Sous l’emprise d’alcool et stupéfiants

    Et  tuent nos enfants

     

    Un crime commis en toute impunité

    L’enfant n’était pas encore arrivé à la maternité

    Malgré la récidive

    Les avocats préparent l’esquive

     

    Il y a toujours une barricade

    Pour protéger des M. Palmade

    Des jérémiades

    En guise de parade

     

    Des criminels qui n’assurent pas la responsabilité

    Une banalité de leur immoralité

    Pour eux ce n’est qu’un accident

    Mauvais endroit mauvais moment

     

    Il y aura toujours un avocat

    Qui les tirera de ce mauvais pas

    Quand on est connu et qu’on  a de l’argent

    Les juges se montrent plus indulgents

     

    Ils font appel à des ténors du barreau

    Car ils savent qu’ils risquent gros

    Mais ce n’est que de la théorie

    Une vulgaire tromperie

     

    Au pire ils risquent un retrait de permis

    Et de la prison avec sursis

    Une infamie

    Si on pense à celui qui a perdu la vie

     

    Au pire ils prendront un chauffeur

    Qui lui pourra appuyer sur l’accélérateur

    le procureur et tous ses accesseurs

    Ont déjà mis le pied sur l’amortisseur

     

    Mais pour les victimes on n’a pas d’antidouleur

    Et la vie ne s’annonce pas de la même couleur

    Mais on trouve toujours une bonne excuse

    A ceux que tout accuse

     

    Et pour ne pas verser un centime

    La  loi ne  classe pas ça en crime

    Bientôt ce sera même la faute de la victime

    Si les tôles le compriment

     

    On a trouvé l’arme idéale

    Pour ne pas finir à la centrale

    Tuez sur la route

    Votre faute sera absoute.

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  • Adorables.

    Adorables.

    Ils savent tout juste marcher

    Encore à la jupe de maman accrochés

    Que déjà ils veulent courir

    Pour tout découvrir

     

    On s’ébahit avec fierté  

    Dès leur premier mot

    A peu près bien répété

    Même si dedans il y a un peu de grumeaux

     

    Chacun des parents aimerait

    Que son nom en premier soit extrait

    Et de faire des louanges

    A son cher petit ange

     

    Même si parfois les premiers mots

    Ne sont pas ceux attendus

    Ce n’est pas grave il est trop petit le marmot

    Il ne connait pas encore les mots défendus

     

    Avec cette envie de vouloir imiter les grands

    Alors qu’ils ont tout leur temps

    Avant de devenir à leur tour parent

    Avec tout ce que cela comporte comme tourments

     

    Mais  rien ne presse

    Il faut qu’ils fassent preuve de patience

    Pour quitter cette jeunesse

    Et  toute son insouciance

     

    La maison est leur première école

    Avant d’apprendre les protocoles

    Qu’ils profitent de leurs rêves

    La transition risque d’être brève

     

    Même si les nuits sont plus courtes

    On est toujours à leur écoute

    On cultivera pour la vie ce fruit

    Que les parents ont produit

     

    Et comme ils sont mignons

    Courant et trépignant

    Quand ils s’extasient

    Avec déjà un peu de jalousie

    Même fraternelle

    Devant la féerie de Noël

     

    C’est vraiment émouvant et beau

    De les voir courir vers leurs cadeaux

    Avec les parents qui les encouragent

    Pendant qu’autour d’eux ça déménage

     

    Mais rapidement le temps s’échappe

    Et trop vite défilent les étapes

    J’ai beau appuyer sur le frein

    Déjà arrive demain.

    Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva