Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Gratte-zobi

La prof sexy et provocante

Gratte-zobi  

C’était une jolie brune

Qui frisait la trentaine

Elle n’avait pas besoin de  collagène

Et ne cachait pas beaucoup sa dune

 

C’était notre prof de français

Et malgré son air autoritaire

Elle était trop bien balancée

Pour qu’on veuille s’en défaire

 

Elle était gaulée comme une déesse

Et ne se gênait pas pour montrer ses fesses

A trop croiser ses jambes sur les tables

Elle avait acquit un surnom redoutable

 

On l’avait surnommée gratte-zobi

Car elle faisait beaucoup d’effet

Lorsqu’elle montrait le satin noir de son fourbi

Que l’on aurait bien voulu dégrafer

 

Son bureau était perché sur une estrade

Se frottant contre mon bureau

Ses jambes étaient parties en croisade

Et me faisaient voir leur fourreau

 

Mes yeux étaient fixés sur ce joli tableau

Bien loin du cours qu’elle distillait

Je regardais sans honte sa petite culotte

Je sentais déjà se dresser le chapiteau

Elle m’avait ensorcelé

Je n’avais  pas trouvé l’antidote

  

J’étais encore dans mon rêve

Lorsque sa voix me surprit

Elle venait de rompre la trêve

J’en payais aussitôt le prix

 

Elle me demandait de reprendre

Là où elle s’était arrêtée

J’étais en plein méandre

Toute tentative de me disculper fut avortée

 

C’était une vicieuse

Qui savait très bien où je regardais

Toute fausse réponse eut été fallacieuse

En une seconde je fus lapidé

 

Elle me colla un zéro à son cours

Je n’en pris pas ombrage

Le zéro valait bien la vue sur le paysage

Je n’ai jamais su si la culotte était de velours

 

Je décidais cependant de changer de place

Il était trop étroit l’interface

J’aurais eu beaucoup trop de zéro

Si j’avais continué à regarder le brasero

 

Un autre face à ses jambes a pris ma place

Et il y toujours aussi peu d’espace

Entre son joli  fourreau

Et le premier bureau.           

Reproduction interdite sans autorisation de l’auteur. .Salva.

Commentaires

  • Génial! Certains disaient "Mon royaume pour un chameau" et d'autres " Mon innocence contre un zéro" ;-)
    Sous le bureau et l'amoralité de la femme bourreau, envie d'enlever ses oripeaux de jeune puceau et de prendre part au brûlot pour ne pas rester sur le carreau, quitte à subir les dommages collatéraux! ;-)

Les commentaires sont fermés.